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Alors là, si Avranches s'en sort après cette victoire contre le club de la ville natale de mes enfants...

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« La victoire a beaucoup de parrains tandis que la défaite est orpheline » (Talleyrand).

Pour avoir une chance de se sauver, il faudrait qu'ils prennent au moins... 9 points sur les 4 derniers matchs, non ?
Les matchs restants : à Villefranche (a 3 points et qui l'a emporté à Avranches il y a 3 semaines), Nancy (4e), à Cholet (le dernier) et réception de Niort (2e).
Dans un scénario rêvé, ils l'emportent à Villefranche la semaine prochaine, et enchaînent contre trois équipes qui n'ont plus rien à jouer. Mais bon...

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- Paris Drakkars - Malherbe

A moins que la DNCG ne passe par là, il faut au moins finir premier relégué, au cas où ?

Oui, il faut un miracle, mais comme j'emmerde Dieu, c'est pas gagné !

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« La victoire a beaucoup de parrains tandis que la défaite est orpheline » (Talleyrand).

Y'a eu un petit article sympa dans l'Equipe aujourd'hui.

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Bauer attend son heure

Dans son enceinte de Saint-Ouen et sauf catastrophe contre Dijon, le Red Star, large leader du National, devrait valider son retour en Ligue 2 ce soir.

Il n’y a plus l’odeur des merguez et c’est peut-être le seul regret du fan de foot, aujourd’hui, lorsqu’il débarque à Bauer. Après des années de combats, le Red Star a gagné le droit de rester dans son stade mythique, en pleine reconstruction. La nouvelle tribune, abrupte, fait son effet; même si le concessionnaire a refusé d’y installer des extracteurs de fumée. Elle sera pleine à craquer, tout à l’heure contre Dijon, et comme à chaque match à domicile. Les supporters du «Red» savent ce qui les attend: un succès, probablement, comme (presque) toujours dans leur enceinte fétiche (13 victoires et 1 nul en 14 matches), ce qui validerait officiellement la montée en Ligue 2 (voir par ailleurs).

«Il y a un match à faire et on ne peut pas écrire les choses avant, temporise le président Patrice Haddad. On a beaucoup de témoignages de sympathie, mais on est premiers depuis la 4e journée et c’est un poids à assumer. On a vécu une sorte de traumatisme la saison passée (*) et maintenant on veut aller au bout. On ne veut pas anticiper les choses, on veut les vivre.»

Le club travaille pourtant très bien dans l’anticipation, depuis plusieurs années.Cette montée se fera avec les reins plus solides que lors des deux précédentes, en 2015 et 2018. Les Audoniens s’étaient alors exilés à Beauvais ou au stade Jean-Bouin pour leurs matches à domicile, ce qui n’était pas viable. Mais à Bauer, qui n’a pas connu la L2 depuis 1998 et dont la capacité sera de 10000 places à la fin des travaux, la musique sera différente. D’autant que les Américains de 777, propriétaires du club depuis 2022, ont donné de nouvelles perspectives avec un plan de financement de 30 M€ sur cinq ans.

«Le Red Star, c’est un projet énorme mais qui reste à taille humaine: pour moi ils ont tout juste, et en plus ils sont à Paris, observe Karim Mokeddem, l’entraîneur d’Orléans. C’est tout le club qui a construit sa montée, en se basant sur la stabilité. Ils ont tout pour devenir l’Atlético de Madrid de la L1, en plus aimés. Car je les vois en L1 un jour. » C’est le sens des ambitions du club, même si l’entraîneur Habib Beye se garde bien d’aller si loin: «Il ne nous reste pas un match, mais cinq, prévient-il. Notre équipe doit marquer l’histoire du National, et pour ça il faut tout gagner. Je ne veux pas juste qu’on soit champion, je veux qu’on soit un très beau champion. Il n’y aura pas de place pour la fête avant le 17 mai. » Mais peut-être que ce soir, certains craqueront quelques fumigènes, et tant pis pour la fumée.

(*) Les Audoniens avaient échoué à 2 points de la montée.

Du coup, Beye a du pas etre content du tout de perdre pour la 1ere fois de la saison à Bauer... Certes le Karim Mokeddem sort tout de suite la comparaison écrasante, mais dans l'idée je suis d'accord, l'identité Red Star elle est quand même inestimable. Si le nouveau stade est une réussite, ils ont quand même de jolis atouts pour retrouver une place durable en Ligue 1 / Ligue 2.

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- Paris Drakkars - Malherbe

Il y a déjà Châteauroux et Orléans qui sont relégués à titre conservatoire et il risque fort d'avoir d'autres en difficulté. Donc de toute façon il vaut mieux finir le plus haut possible.

L'US Orléans a changé de propriétaire et le passage à la DNCG ne sera dorénavant qu'une formalité.

Pour Châteauroux aussi il y a eu changement de propriétaire. Pas sûr que le passage à la DNCG doit une formalité (d'ailleurs c'est totalement exagéré de dire que ce sera le cas pour Orléans), mais c'est jouable.

Et je me permets de contester l'article d'Hugo Guillemet. Encore cet hiver à Bauer, on avait l'odeur de merguez pendant une bonne partie des matchs.

Je rejoins Milhouse.
Lors du premier passage il y a peu devant la DNCG, cette dernière a validé le plan à 3 ans présenté par Courtin (et son apport financier récent), il n'y a à ce jour aucune raison qu'elle ne le valide pas en fin de saison.
Le gars est ancré dans le club depuis longtemps, a les reins assez solides et acccesoirement est un très bon pote de Labrune (qui est lui même originaire d'Orléans).

En étant supporter de la Berrichone, je soupçonne Dim d'espérer un cas de figure contraire

En tous cas Courtin n'annonce pas d'événements faramineux (c'est d'ailleurs pour cela que Boutron lui a vendu plutôt qu'à un fond d'investissement), il annonce juste la réouverture du centre de formation et une pérennisation du club en ligue 2 (après un maintien cette année en N1)
Rien n'est jamais sûr dans le football, mais la situation économique est un peu plus claire qu'il y a quelques mois avec Boutron qui semblait au bout du rouleau.
Il va pouvoir enfin s'occuper de son Leclerc et de son personnel mais ça c'est une autre histoire

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28 mai - 4 juin - 10 juin

Oh non. J'ai plus de mal avec Tours, le vrai rival de Châteauroux quand j'y habitais, mais je ne suis déjà pas assez impliqué émotionnellement pour ressentir quelque chose de violent envers eux. Et Orléans, aucun souci avec. Au contraire, j'ai mon oncle/parrain qui y habite, et mon cousin dont je suis très proche y est né et y a grandi, il a d'ailleurs gagné un Ipad à la Barre en or au Stade de la Source.
Donc non, un a priori franchement positif sur Orléans.
Plutôt une grande méfiance vis-à-vis de la nature même du National et des difficultés rencontrées par la majorité des clubs, même avec un investisseur derrière.

Tours est également le grand rival de l'USO, plusieurs déplacements ont même été interdits par la faute des prix Nobel.


Respect !


C'est sûr, nous en avons souvent parlé ici, ce championnat reste une aberration économique.

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28 mai - 4 juin - 10 juin

Pour la lutte pour le maintien, Orléans pourrait récupérer trois points au détriment de Nîmes qui a aligné un joueur qui n'était pas qualifié lors de leur victoire au stade de la source.

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28 mai - 4 juin - 10 juin

Avranches mène et arrête un péno contre l'équipe de Sulivan Péan

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« La victoire a beaucoup de parrains tandis que la défaite est orpheline » (Talleyrand).

Par contre Granville a pris une pile à domicile et à dit au revoir à ses espoirs de montée en National.

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- Paris Drakkars - Malherbe