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Désolé Landry mais je suis pas sûr que Poutine et Cie prennent ainsi soin du peuple. C'est un outil pour leur pouvoir et j'ai bien peur que la défense de l'âme Russe, connue pour être brave et fière dans aucun doute, soit plus l'expression d'un nationalisme que d'un humanisme.
Ce sentiment est exacerbé afin d'obtenir l'assentiment du peuple vis à vis de leur pouvoir.
Certains dictateurs disent à leur peuple qu'il est beau et qu'il est courageux.
Au delà , le pays est assez grande puissance pour se positionner en tant que contre pouvoir aux U.S.A., ce qui n'est pas très compliqué ce n'est qu'une continuité historique la population et les structures n'a pas à faire un grand effort.Ce contre pouvoir est, on va dire, nécessaire dans un systèmes sain.
Mais...
La Russie dépouille tout autant les matière premières , comme commence à faire la Chine, et a envahi autant de pays-ou du moins ne les a pas laisse sortir-, au temps communiste pas avec Poutine, mais la Tchétchènie bon.
Avec la prédominance américaine , ils ne pouvaient pas s'engager dans un modèle copies sur celui des U.S.A., car ils ne pouvaient pas concurencer un pays qui avait un système rôdé et au point.Leur intelligence a donc être de faire leur propre mode de fonctionnement, capitalisme mais aussi par pragmatisme se servir des vestiges de l'URSS avec leur âme de fiers combattants ils on su rester sur le devant de la scène, d'une façon certes typique.
Le prix à payer est cher.La liberté de la presse aux U.S.A. permet plus de fuites qu'en Russie...On ne sait pas tout...(Sauf ce qu'on veut bien nous faire savoir via Sproutnik)Les Russes sont fiers et aiment entre représentés par des mecs couillus.Poutine est populaire, il boxe des tigres de Sibérie, c'est pas un politicien qui fait des affaires derrière son bureaux.il est ce que le Russe veut être.La Russie existe sur l'échiquier mondial, certains sont prêt à faire des sacrifices pour çà. (Santé, liberté, faim, vodka..).

Mon énoncé s'appuie sur des faits rationnels et scientifiques de comparaison de courbes liées à l'économie, au développement, au revenu par habitant, à la perception du bonheur entre la sortie de l'ère Clintono-Yeltsinienne et 20 ans de pouvoir de Poutine. Une fois de plus c'est comparatif et non dans le but de décrire une panacée ou un modèle à copier ou à admirer, ce que je comprends être difficile à concevoir pour des esprits dressés à choisir continuellement entre le lard ou le cochon, entre la peste et le choléra. Le constat n'a d'autre but que d'éveiller la méfiance, pas de vendre une alternative. Autre lecture inévitable lorsque l'on est matraqué par la fameuse injonction fallacieuse du "ça critique mais ça ne propose pas grand chose". Ainsi tout part dans la cuvette, eau, bébé, savon, soi-même.

Avoir vécu en Finlande il y a 20 ans faisait bien connaître la situation désastreuse de la Russie à l'époque. De très nombreux documentaires sur la Russie, amééricains inclus, neutres et journalistiques exposent ça très bien. À un moment la source c'est aussi de la culture générale, ce dont tu es loin d'être dépourvu, voire l'un des plus généreusement fournis, d'où mon étonnement.

273 c'est donc sans les 11 de l'Arizona quasi-sûrs et attribués depuis 2 jours par de nombreux médias. Il terminera à plus de 300.

Oui, l'Arizona et la Géorgie dans lesquels il est en tête ne sont pas comptabilisés.