François de Malherbe a écrit:
[ il semble que l'astreinte du suivi longitudinal soit tout de même assez forte en France par raport à d'autres nations. Par contre, les Italiens sont complètement absents des différents classements : Pettachi et Basso out, il n'y a plus de sprinteurs ni de grimpeurs, et on cherche désespérement les éternels baroudeurs dont la péninsule alimente régulièrement les courses cyclistes
- Danilo di Luca, vainqueur du Giro 2007 est cité dans plusieurs affaires
- Alessandro Petacchi, roi du sprint italien suspendu un an juste avant le départ...
Concernant la fédé française, elle a eu quand le même l'idée saugrenue de prendre comme médecin un certain Armand Mégret....médecin de la Cofidis qui a initié plusieurs coureurs à l'EPO. Comme en athlé (voir le désastre du demi-fond française), le suivi longitudinal dans le cyclisme sembe "relativement" aisé à contourner, Moreau en est la preuve.
Sinon entre les affaires des années 80 et celles que l'on connait désormais, c'est une autre époque. En 80, on se limitait au contrôle d'urine et il y a eu quelques belles histoires à hurler de rire (un coureur enceinte, Pollentier avec sa poire...). Désormais, c'est carrément de l'ADN que les coureurs doivent fournir (affaire Puerto et charte signé avec l'UCI).