Monsieur la sardine a écrit:
Antoine Vayer, professeur d'EPS et ancien entraîneur de l'équipe Festina de la grande époque de l'EPO, tient une chronique régulière dans Libé et se base sur une méthode assez compliquée (enfin pour un non scientifique comme moi) basée sur la puissance développée par les coureurs dans les étapes de montagne (watts par kilo de poids de corps). Il est interdit de Tour de France (pas d'accréditation) par les organisateurs)... mais pense que Christophe Moreau a remis le nez dedans (il s'est basé sur ses ascensions de col lors du Dauphiné Libéré notamment).
Après, comme le disait Laurent Fignon, le football est aussi touché que le cyclisme, mais quand il n'y a aucun contrôle positif sur la Coupe du monde ça n'étonne personne.... Plus récemment dans l'Equipe, Victor Conte, le patron du laboratoire Balco qui "dopait" notamment Marion Jones, Tim Montgomery (enfin les meilleurs sprinteurs) estimait selon lui que la moitité des athlètes présents aux JO de Sydney en 2000 était chargée...
J'ai vu aussi cet article d'Antoine Vayer, qui comparait les cycliste à des avions

Il parlait aussi du jeune Soler qui a monté le télégraphe + le Galibier plus vite que Pantani lors de sa meilleure forme en 98, que Rasmussen développait plus de puissance que Virenque à l'époque où il s'injectait plus de 50 doses d'EPO/jours.
Je pense qu'ajourd'hui il y asurement moins de dopés ce qui fait que la moyenne baisse légèrement. Mais minimum les 10 premiers sont toujours aussi dopés.