rix a écrit:
Garcimor a écrit:
Rix est toujours aussi cinglé.
J'admire votre courage à contrer son argumentaire.
Il était vaguement de gauche il y a 10/15 ans, il est zemmouriste/Lepéniste désormais. Vous le laissez tremper encore 5 ans et il sera royaliste version Civitas.oui : c'est une attaque personnelle qui ne mérite pas de réponse!Bon sinon, je vais faire le castor et voter pour Macron au second tour pour éviter un désastre plus grand, mais aussi pour faire pleurer une deuxième fois les fafs qui pensaient que Zob finirait entre 15 et 20%.

Oui, c'est une attaque personnelle qui ne te grandit pas et surtout qui témoigne de ton intolérance puisque tu me reproches mes opinions (et celle de la moitié des Français au passage).
Ton intervention est symptomatique de l'intolérance de la gauche. La gauche n'a plus d'analyse, plus de discours, plus de projet, il ne lui reste que les anathèmes contre les adversaires, les excommunications, les mises à l'index. Mais ne sentez-vous pas que ces temps sont révolus et que vos gesticulations ne font plus aucun effet ? Aujourd'hui les gens de la base disent de plus en plus ouvertement qu'ils votent Le Pen ou Zemmour. C'est dommage pour vous.
Ton intervention est symptomatique de l'intolérance de la droite. La droite n'a plus d'analyse, plus de discours, plus de projet, il ne lui reste que les anathèmes contre les adversaires, les excommunications, les mises à l'index. Mais ne sentez-vous pas que ces temps sont révolus et que vos gesticulations ne font plus aucun effet ? Aujourd'hui les gens de la base disent de plus en plus ouvertement qu'ils conchient Le Pen ou Zemmour. C'est dommage pour toi.
Tu prends la logorrhée de rix tu la remplaces par son contraire, comme toute novlangue décérébrée qui se respecte, ça continue de marcher.
Rix est toujours aussi cinglé mais ça ne me fait pas rire. Il s'est fait foutre dehors à grands coups de pieds dans le cul par le groupe politique qu'il a essayé de noyauter, et depuis iznogoud confond vengeance de son petit amour propre et positionnement politique.
Le plus triste est qu'il a l'air convaincu que son verbiage sans queue ni tête pourrait réussir à séduire un ou deux esprits aussi faibles que lui... pitié quoi.