Asbury Park a écrit:
Simply the Best a écrit:
Et j'en suis ravi car mes idées ont gagné au PS !!
Alors... soit tu plaisantes aimablement pour titiller un peu ton auditoire, soit tu te prends vraiment au sérieux. Et si c'est le cas, c'est vraiment pathologique. Fais-toi soigner, je ne vois que ça. Parce qu'une telle mégalomanie, c'est ahurissant.
... "Tes idées ont gagné au PS"... La beauté du dingo.
Mais si...
Mes idées ont triomphé au PS et les gauchistes ont perdu. D'ailleurs, Melenchon l'a bien compris et le front de gauche est destiné à accueillir à terme tous les cocos qui restent encore au PS...
J'ai toujours été sur une ligne moderne et ici on a toujours "chié" sur les candidats PS qui se réclamaient de la social-démocratie.
D'ailleurs, quand je lis ça (voir ci-dessous), comment pouvez-vous soutenir Hollande alors que vous avez toujours ici maudit cette ligne politique ?
Vous êtes incohérents ou alors les rois du retournage de veste...
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AFP le 17/02/2012 à 10:270
"Oui, nous sommes des sociaux-démocrates" (porte-parole Hollande) :
Najat Vallaud-Belkacem, l'une des porte-parole du candidat socialiste François Hollande, a souligné vendredi que ce dernier et son équipe se réclamaient de la social-démocratie et qu'il y avait une "bonne et une mauvaise finance".
"Est-ce que ce serait péjoratif que de qualifier aujourd'hui François Hollande et ceux qui l'entourent de sociaux-démocrates? Oui, aujourd'hui, nous sommes des sociaux-démocrates", a déclaré la porte-parole sur Europe 1.
"Nous considérons qu'avant de redistribuer la richesse, il faut la créer. C'est vrai que nous mettons parmi les priorités de notre action le soutien aux entreprises. Pour qu'il y ait création de richesses, il faut des entreprises. Pour qu'il y ait emploi, il faut de la croissance. Oui, c'est vrai que la gauche de ce point de vue a pu évoluer", a-t-elle poursuivi.
Najat Vallaud Belkacem a assuré d'autre part qu'il n'y avait pas eu de "contradictions" dans les différentes déclarations de François Hollande sur "le monde de la finance", qualifié dans son discours au Bourget de "véritable adversaire".
"Il y a une bonne et une mauvaise finance", a expliqué Najat Vallaud-Belkacem
François Hollande "ne parle pas de la finance dans l'absolu. Il parle de la finance nocive, la finance toxique, la finance des spéculateurs, celle qui tourne au service d'elle-même", a-t-elle ajouté.