ajacques a écrit:
François de Malherbe a écrit:
Non, c'est vrai, tu fais de Domenech seulement un héros.
C'était surtout pour prendre le contre-pied des messages haineux le concernant ... Tout comme Zoran est un héros.
François de Malherbe a écrit:
Incapable, le mot est fort de toute façon. Comme disait "Luis", le costume de sélectionneur était trop grand pour lui, tout simplement.
Du coup, je dois comprendre que je raconte n'importe quoi et que je gobe ce que me disent les médias (je ne lis, ne regarde ni n'écoute aucun média spécialisé dans le sport) ?
Bah tu écoutes Luis (et tu le cites !), ça explique un peu tout.
François de Malherbe a écrit:
J'y peux rien, si cette histoire d'horoscope écorne trop ton héros à tes yeux. Je ne l'ai pas inventée.
Mais même ses plus violents détracteurs ont arrêté d'en parler de cette connerie, c'était clairement une pirouette. Cette "histoire d'horoscope" sert juste d'argument ultime quand on veut clore une discussion sur le sujet. Sur le nombre de fois où on a eu ce débat, je suis presque sûr de le retrouver à chaque fois.
François de Malherbe a écrit:
Salut.
Bon week-end.
Bon. OK, on se calme et on boit frais à St-Tropez.
Non, je n'écoute pas Luis, mais je connais ses propos concernant Jérôme Rothen sur le PSG, il y a au moins 7-8 ans !!
De mon point de vue, tu te situes sur le plan de l'idolâtrie, et tu ne peux donc prendre les arguments contre Domenech que comme étant iconoclastes, au sens premier du terme.
Tu avoues toi-même que tu t'es rangé derrière lui au moment où tu avais le sentiment qu'une cabale irrémédiable était lancée contre lui.
De mon côté, ma déception a été à la hauteur des attentes que j'avais placées dans celui que je pensais être l'homme de la situation.
Je me suis contenté d'observer. Et le jeu des éliminatoires de la coupe du monde 2006 était tellement pathétique, qu'il a fallu faire appel aux anciens pour se qualifier in-extremis. Je pense que tu es honnête dans ta défense, mais ce qui passe moins bien, c'est que tu remettes en cause ma propre honnêteté, considérant que je suis abreuvé par une sorte de propagande médiatique d'un certain sérail.