duval a écrit:
kainrijames a écrit:
globule_smc a écrit:
Le point du nul face à Monaco, il peut faire mal celui là... ah Rémy..
avec des si
c'est pas sur ça que ça se joue la saison.. Les points de perdu c'est sur les 10-15 matchs (ou plutôt purge) d'avant ou les mecs mettent pas ce qu'il faut sur le terrain pour gagner les matchs,y a un état d'esprit pourrie dans cette équipe voir les paroles de Guilbert après le match de Troyes,perso je peux pas taper sur Vercoutre même après sa boulette,sans lui on aurait encore moins de points au classement cette saison...
Oui, je suis d’accord avec toi en ce qui concerne l’absence de volonté sur le terrain (je n’ai pas vu ça depuis l’année où on a fini 17ème de L2).
J’ajoute que c’est une saison particulière :
_ une guerre entre dirigeants ;
_ un entraîneur en mode rien à foutre, que ce soit avec les joueurs ou avec les journalistes ;
_ des joueurs qui coulent gentiment avec le navire, sans essayer de nager jusqu’au rivage ;
_ un kop qui baisse les bras, dès qu’une banderole est volée.
En une seule année ça fait beaucoup pour le smc.
La guerre ouverte entre les dirigeants n'est pas une cause mais plutôt la conséquence logique de l'accumulation des résultats pitoyables du club et des choix qui les expliquent en amont.
Garande est certainement un entraîneur concerné mais pas pour autant compétent dans la gestion d'un groupe d'élite. Ni brillant dans ses options tactiques. Son aura auprès des joueurs est devenue quasi-nulle. Un manque d'influence qui explique en partie le peu d'engagement de certains dans les moments-clés de la saison et qui risque d'être déterminant à l'instant du round final face au Psg.
De même qu'on guette une révolte des supporters qui serait aujourd'hui la bienvenue pour remobiliser tout le monde on s'interroge sur le mutisme de Fortin et de Gravelaine censés battre le rappel en temps de crise. A-t-on misé sur le pourrissement d'uns situation extrême imputable à des putschistes qui ont juré la mort d'un système verrouillé et peu performant? Réponse attendue demain.
En tous les cas, maintien y compris, difficile de pavoiser à l'idée d'un nouveau bail dans l'élite quand la voie devient au fil des saisons de plus en plus étroite pour y parvenir. Et repartir en L2, avec une nouvelle présidence, un nouveau staff et de jeunes pros peu soucieux d'un passé sans gloire, ne serait pas forcément une catastrophe.