Dim a écrit:
Des jeux d'agents, comme pour Candé ou Molchan.
Oui et non. Malgré ses récents échecs dans des contextes pourris, il ne me semble pas impossible qu'à un moment (après Nicosie et Rochester par exemple), le Baltazar a eu une certaine cote auprès des observateurs et des agents. Genre un profil d'entraîneur moderne avec des principes de jeu machin truc, surtout avec la hype du moment sur les entraîneurs portugais.
Dans cet article d'
Eurosport, ça dit (à propos d'Amorim, mais l'idée est là) :
Citation:
L'entraîneur (...) est encore relativement méconnu en Europe, alors que les plus grands clubs d'Angleterre l'avaient suivi avec beaucoup d'envie ces derniers mois.
Ce n'est évidemment pas un hasard. La Premier League a été, bien avant les autres, le premier championnat à remettre les entraîneurs au cœur des projets sportifs. Au Royaume, ce sont eux qui incarnent une vision à long-terme et une quête de stabilité. À Liverpool, Londres ou Manchester, on chine un "manager" avec beaucoup plus de minutie - et de datas - qu'un joueur sur le mercato. Les enjeux ne sont pas les mêmes. Les bons profils sont rares (...)
Hammoud et Mbappé, ce ne sont pas des propriétaires de Mc Do à qui on vend Rui Almeida sur une demi saison réussie en Ligue 2, j'espère quand même que c'est un peu plus chiadé. Prêcheur a donné l'autre fois des opinions assez claires sur quel type d'entraîneur il voulait. Je supposerais bien qu'on est sur le même type de processus que décrit dans l'article, l'argent et le prestige de la Premier League en moins.
Tu pars d'une base de données mondiale d'entraîneurs qui ont été analysés, et une fois que tu appliques quelques critères un peu contraignants de principes de jeu, de salaire, de disponibilité, et... d'agent ? Bah c'est sur Baltazar que c'est tombé ?