La quatrième de couverture a écrit:
Qui va gagner l'Euro 2008 ? Geoffroy Garétier, l'homme qui avait prédit la chute du Brésil en quarts de finale du Mondial 2006 et le sacre final de l'Italie, vous donne la réponse. Il sait, car le football est tout sauf un jeu de hasard. Bien sûr, penserez-vous, il faut prendre en compte la tactique, le talent, l'expérience, la forme physique... Sauf que vous n'y êtes pas du tout. Gagner un Championnat d'Europe, ce n'est pas une question de 4-4-2, de coaching, de frappes enroulées ou de coups de tête. Avec rigueur et humour - ainsi qu'une certaine dose de mauvaise foi -, l'auteur le prouve par a + b : l'Euro se joue avant tout sur le terrain de l'histoire et de la géographie. La superficie de chaque pays, sa densité de population, sa localisation, son passé dans la compétition permettent de déterminer les futurs parcours des participants, et de dresser le portrait-robot du vainqueur. Ce sera l'Allemagne.
Un article du Net a écrit:
Euro 2008, c'est joué d'avance
Pas la peine d'attendre le 29 juin pour connaître le vainqueur, Geoffroy Garétier vous donne déjà les résultats.
Seize équipes réparties en quatre groupes composent le prochain Euro 2008 de football organisé en Suisse et en Autriche du 7 au 29 juin. Le groupe C, avec la France, l'Italie, les Pays-Bas et la Roumanie, est considéré par les experts comme le groupe de la mort…
Que ceux qui tremblent que les Bleus s'effondrent au premier tour face aux Champions du monde en titre se rassurent, ils sont sûrs d'atteindre les quarts de finale.
Comment ça ? Mais oui, c'est mathématique ! Après avoir franchi ce cap aux dépens des Italiens, ils n'auront pas d'autre issue que de chuter devant l'intrépide et ambitieuse Russie.
Dans le foot, le hasard n'a pas sa place
La noble incertitude du spectacle sportif prend un sacré revers devant l'analyse historico-géographico-statistico-footballistique de l'expérimenté Geoffroy Garétier. Avec un humour décalé et décapant, l'auteur emmène son lecteur sur les chemins du prochain championnat d'Europe et transforme l'événement en un véritable thriller, une sage pleine d'indices, de preuves et d'affirmations qui mèneront au « coupable » final : le vainqueur de l'Euro 2008. Si ceci vous semble incroyable, pensez que le même enquêteur avait déjà anticipé le scénario de la Coupe du monde 2006.
Au fil d'arguments imparables basés sur des observations géo-politiques, mathématiques, psychanalytiques, historiques et anthropologiques, l'auteur démontre les limites de la vision habituelle d'une telle compétition, basée sur le schéma classique performance + entraînement + volonté + baraka. On se passionne, on sourit et l'on garde ce précieux ouvrage à portée de main en attendant le mois de juin pour vérifier, de visu, que le sport ne se nourrit pas seulement du fruit du hasard.