Vltra a écrit:
François de Malherbe a écrit:
Vltra a écrit:
François de Malherbe a écrit:
Le centrisme, "une erreur anthropologique".
Sans vouloir jouer la vierge effarouchée, ses relents paranoïdes (délire complotiste, psychoses, hallucinations, …) qui flirtent parfois avec la démence, font froid dans l'dos. On dirait du Soral, mais en moins rigolo.
Le sujet est d'abord de rappeler la quintessence dialectique de la politique. On peut disserter à l'infini, mais nier la nature conflictuelle des idées politiques ne me semble pas très net non plus...
Cette idée de l'affrontement doit être démocratique, évidemment, parce que sinon, c'est la guerre (or, rappelle Clausewitz, "la guerre, c'est la politique continuée par d'autres moyens").
Le drôle s'autorise une légitimité dans le débat politique. Bon ok, soit, admettons. Sauf que 95% de son temps est passé à cracher sur des adversaires. Qu'il s'invente pour assouvir des besoins paranoïaques. On a vu plus constructif comme débat d'idée. Là, le conflit politique est réduit à des insultes niveau maternelle. C'est dommage une bonne baston à l'ancienne suffirait.
J'avoue ne pas bien saisir le cheminement de ta pensée. Tu peux attaquer
ad hominem le bonhomme que tu exècres, mais, comme dirait Deleuze, tout est affaire de concepts. Je ne sais pas à quelle partie de l'intervention tu te réfères, mais le titre que j'ai mis en exergue questionne la partie liminaire : la négation des antagonismes sociaux et politiques.
C'est l'histoire politique de notre pays, depuis 1789 : la révolution contre la contre-révolution, le progressisme contre le conservatisme, etc., le tout, transcendé par de puissants rapports de force, déjà à l’œuvre sous l'Ancien Régime, et analysés brillamment par Marx en son temps.