Hastings a écrit:
Vltra a écrit:
L'exemple du Celtic est problématique. La cohabitation malheureuse des symboles historiques du club renvoie vers une image quasi funéraire : des dates mortuaires, autour d'une croix, sous la bienveillance de deux chauves-souris !
Je pense au contraire que Malherbe n'est pas tombé pas dans l'écueil de "l'identité tombeau".
La difficulté de l'exercice c'était de renvoyer vers l'origine historique sans… dater. La simple date de création suffit à rappeler qu'il s'agit du centenaire du club et le sacralise par la même occasion.
Et pis, y'a un truc vicelard qu'on appelle l'inconscient qui freine l'achat d'un produit "daté". Parce que, passée la date inscrite, le produit est perçu comme "périmé".
Bon en somme, quand on écrit en très gros "1913" on renvoie vers l'origine (la légende), quand on ajoute "2013" on signe la fin de l'histoire.
J'comprends, effectivement.
Ce logo du centenaire, il me fait aussi penser au nouveau du HAC, moins le symbole central (la salamandre).

Ué, c'est clairement la même filiation. Je crois que c'est FdM qui qualifiait l'identité de "Malherbe Spirit !". Enéfé, les codes graphiques (blasonnement, couleurs revival, datage, etc) sont des références manifestes aux Public schools british, initiatrices du « folk football ».
La différence entre les 2 logos tient essentiellement dans la destination de chaque identité.
- d'un côté, une problématique purement identitaire : le HAC résuscite sa salamandre et crée un logo intemporel et durable.
(symbolique des déchets pétroliers)- de l'autre côté de la Seine, un besoin événementiel : Malherbe fête son centenaire et crée un logo "millésime"
(symbolique du Calvados Hors d'Âge)