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Forum des supporters du Stade Malherbe Caen
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Répondre en citant le message  MessagePosté: 27 Fév 2013 13:30 
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Inscription: 31 Aoû 2005 22:06
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Je viens de terminer les deux volumes du Siècle de Ken Follet et je dois avouer que j'ai trouvé ça remarquable, dans le fond comme dans la forme.

Pour résumer : on suit des familles en Allemagne, en Russie, en Angleterre et aux Etats Unis pendant tout le 20ème siècle (oui, il manque la France et l'Italie, ce qui sera ma plus grande critique envers ce livre). L'intérêt du bouquin réside dans le fait qu'il mélange la narration du quotidien des personnages, dont il résulte une peinture de la société qui est très réussie, et l'explication de la grande histoire, certains personnages majeurs naviguant dans le milieu politique et diplomatique.

Et en plus, d'un point de vue romanesque, c'est très réussi, puisqu'on a vraiment envie de savoir ce qui va arriver aux différents personnages.

Bref, je recommande vivement et le succès en librairie me parait plus que mérité.


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Répondre en citant le message  MessagePosté: 28 Fév 2013 08:05 
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Arthur a écrit:
Je viens de terminer les deux volumes du Siècle de Ken Follet et je dois avouer que j'ai trouvé ça remarquable, dans le fond comme dans la forme.

Pour résumer : on suit des familles en Allemagne, en Russie, en Angleterre et aux Etats Unis pendant tout le 20ème siècle (oui, il manque la France et l'Italie, ce qui sera ma plus grande critique envers ce livre). L'intérêt du bouquin réside dans le fait qu'il mélange la narration du quotidien des personnages, dont il résulte une peinture de la société qui est très réussie, et l'explication de la grande histoire, certains personnages majeurs naviguant dans le milieu politique et diplomatique.

Et en plus, d'un point de vue romanesque, c'est très réussi, puisqu'on a vraiment envie de savoir ce qui va arriver aux différents personnages.

Bref, je recommande vivement et le succès en librairie me parait plus que mérité.


+ 1. J'ai dévoré La chute des géants. J'attends avec impatience la sortie en poche de L' hiver du monde. En attendant, je crois que je vais me relire Les piliers de la Terre et enfin lire Un monde sans fin.


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Répondre en citant le message  MessagePosté: 10 Mar 2013 15:30 
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L'homme qui savait la langue des serpents.

C'est un roman estonien, mais comme je suis pas Landrouze, je l'ai lu en français. C'est une histoire qui se déroule entre une forêt et un village d'Estonie donc, au temps d'une sorte moyen age. Mais aucune reconstitution historicisante, que ce soit dans le vocabulaire ou les descriptions. Le héros traite sa sœur de pute à ours, (parce que les animaux et les habitants de la forêt communiquent entre eux grâce à la langue des serpents, et les ours ne pensent qu'à coucher avec les filles.) Seulement voilà, c'est pas moderne de vivre dans la forêt. Le progrès c'est de vivre au village, labourer la terre et de se prosterner devant les moines.

C'est donc le récit de la fin d'un monde. C'est triste sans aucune nostalgie, y a des massacres sans cynismes. Et pis y a aucun élément pénible de type saga ou heroïc-fantasy.
Un très bon roman.

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Répondre en citant le message  MessagePosté: 12 Mar 2013 15:28 
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Abidbol a écrit:
L'homme qui savait la langue des serpents.

C'est un roman estonien, mais comme je suis pas Landrouze, je l'ai lu en français. C'est une histoire qui se déroule entre une forêt et un village d'Estonie donc, au temps d'une sorte moyen age. Mais aucune reconstitution historicisante, que ce soit dans le vocabulaire ou les descriptions. Le héros traite sa sœur de pute à ours, (parce que les animaux et les habitants de la forêt communiquent entre eux grâce à la langue des serpents, et les ours ne pensent qu'à coucher avec les filles.) Seulement voilà, c'est pas moderne de vivre dans la forêt. Le progrès c'est de vivre au village, labourer la terre et de se prosterner devant les moines.

C'est donc le récit de la fin d'un monde. C'est triste sans aucune nostalgie, y a des massacres sans cynismes. Et pis y a aucun élément pénible de type saga ou heroïc-fantasy.
Un très bon roman.

Ouais, j'ai vu ça, c'est conseillé par mon libraire. Le contexte, je crois, c'est aussi le carcan de fer de la Ligue Hanséatique dans la région. Or, moi, la Hanse, ça a toujours été un truc mystique et attirant...
Je descends un peu ma pile non lue, et je pense que je vais me laisser tenter.

edit : en fait, j'ai confondu çui-ci avec L'énigme de Saint-Olav d'un autre auteur estonien. Ma coulpe.

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[...] si j’étais médecin et que je sauve la vie à quelqu’un, et que ce quelqu’un à son réveil se mette à remercier Jésus, j’aurais envie de lui enfoncer une paire de forceps dans le cul en lui conseillant de demander à Jésus de venir les lui enlever.


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Répondre en citant le message  MessagePosté: 15 Mar 2013 15:34 
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Z'aviez vu ça ? Désolé si c'est déjà le cas...


20/03/2013 : Un polar caennais au brouillon de culture

Mercredi 20 mars à 16h, rencontre avec François-Michel Dupont

Il a tout de caennais ce polar: son auteur, François-Michel Dupont est CPE au CLE à Hérouville, son éditeur, les éditions du Vistemboir, installées à Caen, sa librairie, le brouillon, qui est aussi la votre, et même son décor, puisque c'est ici-même que se déroule l'action! Un vrai polar qui vous accroche autant par son intrigue que par ses méandres caennaises et bas-normandes dans lesquelles il est vraiment plaisant d'être promené. Les amateurs seront comblés!!

Dans une Basse Normandie encore marquée par la Seconde Guerre Mondiale, comment le capitaine de police Philippe Pesqueur et son irrésistible adjoint Pierre - Arnaud Levasseur pourront-ils découvrir le véritable coupable parmi les fanatiques de reconstitutions historiques, une aristocrate vénéneuse ou autres "naufragés" écrasés par le poids du passé ? Cette aventure rocambolesque nous ballade au fil de la région : de Caen à la pointe du Cotentin, et nous force à reconsidérer une certaine vision de l’histoire comme …"une mémoire à bout portant" !

Né le 27 février 1972 dans le Cotentin, François-Michel Dupont a gardé de sa terre natale le goût des contacts authentiques et chaleureux. Il est aujourd’hui Conseiller Principal d’Education au sein de l’équipe du C.L.E. à Hérouville- Saint-Clair (Calvados). Passionné par toutes les questions liées à l’éducation, il a choisi cette carrière qui lui permet d’assurer le suivi des élèves, tout en favorisant une dynamique de projet : ouverture à l’international (Belgique, Norvège…), au monde professionnel et associatif … Il enseigne également le français en tant que langue étrangère au Carré International, à l’Université de Caen.

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Répondre en citant le message  MessagePosté: 18 Mar 2013 23:44 
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Article sur le livre de Pierre Tevanian, La haine de la religion. Comment l'athéisme est devenu l'opium du peuple de gauche

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Répondre en citant le message  MessagePosté: 19 Mar 2013 13:10 
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Parmi mes dernières lectures, je vous en ai sélectionné deux qui devraient plaire à nombre d'entre vous.

Serena, de Ron Rash (auteur de Un pied au paradis) ; histoire d'amour, de haine, du capitalisme et de ses ravages sur les hommes et l'environnement dans l'Amérique paumée de la Grande Dépression ; 530 p.
<3 <3 ( <3 )
Thème :
"Années 1930, Smoky Mountains. George Pemberton, riche exploitant forestier, et sa femme Serena forment un couple de prédateurs mégalos, déterminés à couper tous les arbres à portée de main pour accroître leur fortune. Mais le projet d'aménagement d'un parc national, pour lequel l'État convoite leurs terres, menace leurs ambitions. Pemberton s'emploie à soudoyer banquiers et politiciens. Sans états d'âme, Serena a d'autres arguments : le fusil, le couteau, le poison, et un homme de main dévoué…"
Excellent roman fouillant dans le passé pour illustrer le présent : capitalisme débridé, conditions sociales, atteintes à l'environnement, exil dans les pays en développement au cas où les autorités voudraient mettre des bâtons dans les roues aux créatifs entrepreneurs avec de foutus projets visant à protéger la Nature. Et bon, hein, est-ce que c'est la Nature qui va filer à bouffer aux indigènes, hein ? Oui ? Ah. Bon, c'est pas une raison : c'est le travail, même s'il est fait dans des conditions désastreuses, qui donne la possibilité de se pinter au whisky.
Ce bouquin, c'est aussi une histoire d'amour d'un homme aveuglé par le pognon et le charisme de sa partenaire, et de cette femme prête à tout pour fuir son passé même si ça inclut l'exploitation d'un grand nombre de travailleurs, la destruction d'énormes territoires magnifiques et précieux, et même les assassinats...
Roman assez extraordinaire qui ne pêche que par quelques légères longueurs par moment, et surtout pas la comparaison avec les grands maîtres du Deep South étatsunien que sont Faulkner ou Erskin Caldwell. A lire, vraiment.

Rackets, de Thomas Kelly (2ème volet indépendant d'un triptyque sur les travailleurs du bâtiment à New York ; le 1er, c'était l'excellent Le ventre de New York) ; roman noir sur les très corruptibles mondes de la politique, du syndicalisme et de la Mafia à NY ; 585 p.
<3 <3 <3
Thème :
"Jimmy Dolan s'est frayé un chemin jusqu'à l'université en travaillant sur des chantiers de construction. Aujourd'hui il est responsable des relations publiques du maire de New York, un républicain bon teint. Mais son destin va basculer lors d'une réception à la mairie, où il est pris à partie par Frankie Keefe, le patron de la section locale du syndicat des camionneurs, qui est aussi l'instrument de la Mafia. Jimmy ne peut s'empêcher de riposter et envoie Keefe au tapis, ce qui lui coûtera son poste. Au cœur de l'altercation entre les deux hommes, la réélection du leader du syndicat, poste auquel Mike Dolan, le père de Jimmy, est candidat. Un candidat gênant. Toute sa vie, il s'est battu pour un syndicalisme honnête, mais il ne bénéficie pas de la moindre protection, comme il l'apprendra à ses dépens. Pris dans une nasse d'intérêts contradictoires, la famille Dolan va devoir affronter de redoutables adversaires..."
Thomas Kelly est un véritable virtuose qui nous emmène, après son excellent opus précédent, dans le New York des travailleurs du bâtiment, irlandais pour beaucoup ; dans celui des quartiers d'immigrés, irlandais hier, portoricains aujourd'hui, pauvres toujours ; et dans ses sphères d'influence où le syndicalisme ouvrier est toujours maîtrisé par la Cosa Nostra ou la Politique, via les agences, mais ne peut jamais être sincère et idéaliste. C'est un roman foisonnant, profondément humain, où ceux qui nous sont sympathiques peuvent être très racistes, ou profondément psychopathes, mais toujours sincères. C'est aussi une confrontations entre les générations, l'approche du travail, et le rapport à l'argent dans cette Amérique sans repères où les immigrants de la Vieille Europe (irlandais, italiens) ont bien du mal à s'accrocher à leurs valeurs (pas forcément folichonnes) face aux nouvelles racailles que sont les mafieux russes, les petites frappes portoricaines ou les malfrats en cols blancs. Absolument génial. J'ai déjà acheté Les bâtisseurs de l'Empire, qui clôt le triptyque.

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Répondre en citant le message  MessagePosté: 19 Mar 2013 15:46 
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Inscription: 26 Juin 2008 22:46
Messages: 24911
Tu devrais lire un peu moins si tu veux un jour être à 10 000 messages sur le forum.

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Kikapété de platine


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Répondre en citant le message  MessagePosté: 19 Mar 2013 15:50 
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Messages: 5127
Jurisprudence Landry.

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Répondre en citant le message  MessagePosté: 23 Mar 2013 14:42 
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Inscription: 08 Nov 2011 16:47
Messages: 5127
Putains les mecs, j'ai retrouvé une vidéo de Karibou à 12 ans qui donne son avis sur les bouquins !! C'est énorme :


Cliquer ici

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Répondre en citant le message  MessagePosté: 23 Mar 2013 21:48 
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Inscription: 09 Juil 2007 12:54
Messages: 16378
Localisation: Paris
Tu piques les liens des autres et t'en appelle "aux mecs" alors que t'es si déconsidéré que ta seule stratégie de survie sociale est de tenter le coup de la hyène tel un sous fifre de cour de collège qui voudrait des pump, moins de boutons et un petit peu de respect.

Mais tu n'auras rien de tout ça, car ton rôle est d'incarner l'ignorance et la stupidité comme un avertissement au monde, et ça c'est la seule chose que tu fais très bien.
Peut être qui sait avec l'âge auras tu droit toi aussi à un tout petit peu de dignité ?
Ne baisse pas les bras.

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« Les capitalistes nous vendront la corde avec laquelle nous les pendrons. »
Влади́мир Ильи́ч Улья́нов
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Répondre en citant le message  MessagePosté: 23 Mar 2013 23:09 
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Inscription: 10 Jan 2006 20:13
Messages: 32397
Localisation: La Commune.
Xavi Jacob a écrit:
Tu devrais lire un peu moins si tu veux un jour être à 10 000 messages sur le forum.

+1 :mrgreen:

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Inscription: 31 Aoû 2005 22:06
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Répondre en citant le message  MessagePosté: 31 Mar 2013 17:58 
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Inscription: 10 Jan 2006 20:13
Messages: 32397
Localisation: La Commune.
Je ne sais pas si quelqu'un a signalé la parution du 1er numéro d'une revue parfaite à mes yeux : Desports, ou l'alliance du sport, de la littérature, de l'art et de l'histoire.
Le 1er grand récit retrace le concours du saut en longueur des JO de Berlin 1936 entre Lutz, l'Aryen et Owens, l'Untermenschen. Il est l'oeuvre de Pierre-Louis Basse, dont le dernier ouvrage, Gagner, à en mourir, est un petit bijou, peut-être supérieur à Séville 82.
L'abécédaire de la Petite Reine, la rencontre improbable sur le ring entre Jack Johnson, figure honnie de l'Amérique blanche WASP, et le pré-dadaiste Cravan, pour le 1er happening de l'histoire, les figurines Panini, l'histoire du facho Jean-Marie Balestre, etc. tout ça n'est que pure délectation. Courez, sautez, lisez !

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L'histoire n'est pas la science du passé, mais la science des hommes dans le temps.


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Répondre en citant le message  MessagePosté: 05 Avr 2013 17:25 
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Inscription: 25 Jan 2008 16:17
Messages: 4106
Localisation: Gre
J'ai feuilleté cette revue, et même si le thème ne me passionne pas, j'ai presque envie de l'acheter (mais j'ai un problème de compulsion d'achat de tout ce qui se lit).

Le week-end dernier, c'était le festival Quais du polar, à Lyon. En vrac : Marin Ledun est sympa, mais moins que Jérémy Guez, plus chevelu qu'auparavant. Caryl Férey est un foutu punk d'origine caennaise (que des racailles, là-bas), et Tobie Nathan, vieux psychologue, est proprement fou. Sébastien Gendron est le mec le plus cool de la terre (il m'a même collé un tampon Dracula sur ma dédicace), talonné de près par Jean-Hugues Oppel qui lui, est par contre sacrément barbu. Et j'ai pu saluer mon idole en SF, l'immense (et un peu vieux, mais toujours vif) Norman Spinrad. Malheureusement, Sire Cédric et Donna Leon font chacun plus recette que l'ensemble des pré-cités. Misère. (No comment sur Eric Thilliez qui a battu d'un cheveu, en terme de queue, Sire Cédric, mètre en main, mais lui sait écrire). Sinon, beaucoup de monde le samedi, toujours beaucoup trop de moutarde dans le hot-dog, mais, cette fois-ci, pas de Serge Quadruppani pour taper la discute. Déception.

A part ça, rapidement et en vrac, il faut absolument lire
Balancé dans les cordes, de Jérémy Guez (auteur du déjà très bon Paris la nuit, une novella de cent pages) ; roman noir sur la banlieue, les liens de sang à assumer et la boxe, qui cogne fort ; 185 p.
<3 <3 ( <3 )
C'est court, pas cher, et parfaitement indispensable. On frôle le chef d'oeuvre, là (imaginez, c'est même encore meilleur que la Jonquet "Ils sont votre épouvante..."). Et Guez est un chic type, foncez.

Le cercle des douze, de Pablo de Santis ; roman d'énigme au sein d'une société de détectives dans le Paris de l'Exposition Universel ; 270 p.
<3 <3
Je ne comprends même pas comment Arthur a pu passer à côté. Passionnant et stimulant intellectuellement. Sans parler de l'écriture, excellemment rendue par le traducteur.

Le camps des morts, de Craig Johnson (auteur de Little bird, premier de la série suivant le sherif Walt Longmire) ; polar ethnique exotique dans le Wyoming des Big Horns ; 375 p.
<3 ( <3 )
Certes un peu moins bon que l'excellent Little bird, c'est toujours un grand plaisir de retrouver le sherif Longmire (et une grande partie de rigolade, le plus souvent). Une très bonne série. Et Johnson est un chic type aussi.

Là, je termine Bone, vanté sur ce topic par d'éminents forumistes. C'est en effet très bon, et mérite bien <3 <3 . Juste, Bone et Zoulou sont quand même un poil trop invincibles. Mais bon, c'est adulable.

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