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pour moi tu vaux pas mieux intellectuellemnt qu'un type qui n'a pas fait d'etudes

Après avoir quitté la tête de la sélection anglaise après la Coupe du monde, Sven-Göran Erikson, qui essuyait de nombreuses critiques depuis l'élimination de ses joueurs en quarts de finale contre le Portugal, a exprimé dans The Sun son envie de retrouver les bancs de touche. Reste à trouver un club susceptible de l'accueillir... Et le Suédois semble hésiter sur sa future destination. S'il a confié qu'il avait "besoin d'entraîner à nouveau" et précisé qu'il se verrait bien à la tête de "Manchester, Chelsea ou Arsenal"... , Eriksson, fort d'une riche expérience en Italie (Rome (1984-1987), Fiorentina (1987-1989), Sampdoria Gênes (1992-1997) et Lazio Rome (1997-2000), se verrait bien renouer avec la Serie A avant de voir plus loin: "Le football italien me manque, mais, par dessus tout, c'est le football, qui est pour moi comme une drogue. (...) J'ai besoin de retourner entraîner au plus vite."

pour moi tu vaux pas mieux intellectuellemnt qu'un type qui n'a pas fait d'etudes

Parce que tu trouves que lui mérite de parler ?

Foot - Bleus : Escalettes a peur du film

Le président de la Fédération française de football Jean-Pierre Escalettes a une nouvelle fois averti Vikash Dhorasoo contre toute atteinte à «l'intimité» de l'équipe de France au sujet du film qu'il a tourné pendant en juin en Allemagne pendant la Coupe du monde.

«Je ne suis pas contre le fait d'un film, a expliqué le président de la FFF présent aux Journées de l'arbitrage. Si on ne voit que lui, pas de problème. Mais, s'il s'agit de révéler l'intimité de l'équipe de France, la loi s'appliquera. Avec les "Yeux dans les Bleus" (célèbre documentaire sur l'épopée de 1998), on savait où on allait. Là...», a conclu M. Escalettes. (avec AFP)

Deux dirigeants de la société Bwin ont été interpellés au centre d'entrainement de l'AS Monaco où ils devaient présenter leur nouveau sponsoring de ce club.

Le patron de Bwin.com, une société de paris en ligne d'origine autrichienne, et son directeur général ont été placés en garde à vue vendredi 15 septembre à Nice (Alpes-Maritimes) dans le cadre de l'enquête d'un juge d'instruction de Nanterre (Hauts-de-Seine) sur les pratiques de l'entreprise, a-t-on appris de sources judiciaire et policière.
Le président Manfred Bodner et son directeur général Norbert Teufelberger ont été arrêtés vendredi midi par des policiers de la Section judiciaire de la sous-direction des courses et jeux des Renseignements généraux au centre d'entraînement de l'AS Monaco, situé sur la commune de La Turbie (Alpes-Maritimes).
Ils devaient y tenir une conférence de presse car leur société parraine depuis le début de la saison plusieurs clubs de football de Ligue 1, dont Auxerre, Bordeaux et Monaco, a-t-on appris de source policière.

Plainte du PMU

Les dirigeants de Bwin.com devaient intervenir pour la première fois sur le sol français quand quatre véhicules de police sont arrivés vers 12h15 peu avant le début de la conférence. Les cadres de la société ont alors été emmenés dans les vestiaires du club de football.
Ils ont été entendus pendant une demi-heure par les forces de police avant d'être conduits vers Nice pour être auditionnés.
Les policiers agissaient sur commission rogatoire du juge Jean-Marc Cathelin saisi depuis le 7 novembre 2005 d'une information judiciaire contre X pour "tenue illicite de jeux de hasard, loterie illicite, publicité de loterie prohibée et prise de paris illicites sur des courses de chevaux".
Cette enquête a été ouverte suite à une plainte avec constitution de partie civile de la Française des Jeux et du PMU qui protestaient contre la violation du monopole dont ils disposent pour les jeux de hasard et les paris en France.

"Erreur"

Une source proche du dossier a confié à l'agence Dow Jones que les "dirigeants de Bwin ont fait l'erreur de mettre le pied sur le territoire français et de façon médiatique, en tenant une conférence de presse".
"La publicité sur les maillots des footballeurs est la preuve ostentatoire que la société cherche des clients en France", a noté une porte-parole de la Française des Jeux.
La FDJ "alerte les autorités à chaque fois qu'elle constate des faits de loterie prohibée ou de publicité de loterie prohibée", a-t-elle précisé à l'Associated Press.
La garde à vue peut durer jusqu'à 48 heures. Les deux hommes doivent ensuite être remis en liberté ou présentés au juge d'instruction en vue de leur éventuelle mise en examen.
La plupart des opérateurs de paris en ligne opérant en France sont basés à l'étranger, en particulier à Malte, qui bénéficie d'une législation favorable en la matière. Un porte-parole de Bwin.com, Karin Klein a indiqué que "les avocats de l'entreprise étaient en route pour Nice", jugeant les arrestations "scandaleuses". Le titre BWIN Interactive Entertainment, coté à Vienne, a été suspendu de cotation après l'annonce de ces arrestations. Le dernier cours s'établissait à 25,65 euros, en baisse de 3,9%. (AP)