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On le saura très vite, oui

Et toute la fiction autour des "et si Fortin, et si Gravelaine, et si Capton y'a 2 ans", on s'en bat un peu les couilles, non?

A part de savoir qui a la plus grosse et de pouvoir venir fanfaronner en mode "je vous l'avais bien dit", cest pas ça qui fera avancer quoi que ce soit.

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I need to be myself, I can't be no one else.

Ah bah oui mais si on peut plus critiquer les dirigeants, on n'a plus rien à dire sur le forum!

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Sans Pellegrino
"Southampton : Pellegrino limogé." (lequipe.fr)

Et moi qui pensais avoir des nouvelles fraiches en voyant autant de pages...

Oui, c'est pas complètement faux. C'est même très vrai.

Ceci dit, il faut en effet arrêter de juger 2017 avec ce qu'on sait en 2020.

A l'époque, le sujet "réel" selon Moi, c'est pas putschisss contre gentils, mais quelle gouvernance et quel DG.

Le "clan" Fortin, c'est poursuite du projet de structuration (investissements prioridans l'infrastructure et le support), avec Gravelaine et un projet de concentration des pouvoirs autour de Capton. L'idée est que si le club veut passer le cap d'être menacé chaque saison, il doit monter en budget et que la seule manière d'y arriver, c'est de renoncer au modèle égalitaire et améliorer l'attractivité du club par l'infrastructure et les services supports.
------ > Bon, ben comme Je l'avais dit ( ), je partageais le diagnostic et la vision.

Le "clan" Sergent, c'était un projet pas foncièrement si différent mais appuyé sur une gouvernance en continuité. ça reposait sur surtout pas Gravelaine, la redirection des investissements vers le sportif, la fin de la caporalisation et la poursuite, voire le développement d'un système collectif, meilleur garant de stabilité. L'idée étant que si tu files toutes tes billes à un seul mec, ben tu en deviens dépendant avec les risques que ça comporte (genre être revendu à Chien Lee au bout de deux ans).
-------> Bon, bah c'était clairement pas le projet que J'avais envie de soutenir, mais il faut reconnaitre que c'était cohérent, que c'était un projet plus prudent pour "l'identité" du club et après avoir entendu Sergent l'expliquer avec du temps pour le faire, c'était un projet clair et qui aurait pu réussir.

Voilà.
Sauf que Je pense toujours que le modèle collectif a pour lui cette prudence, mais que Je ne crois pas à la possibilité de monter en puissance, c'est à dire que si le modèle préserve d'un mec qui fait n'importe quoi, il empêche également de décoller. Et c'est ce qu'on voit aujourd'hui.

Je pense que la ligne elle est là.
Et rien ne dit que si Capton avait réussi en 2017, l'histoire n'aurait pas été la même (mais avec Pélissier au lieu de Mercadal) et qu'aujourd'hui on ne serait pas obligés de vendre à Chien Lee.


En gros, c'était pas les méchants contre les gentils, mais deux vision de gouvernance : concentration ou égalitaire.

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Tel est mon bon plaisir.

Sans doute mais il y a aussi Rihouet ( on n'en parle pas assez je trouve ) qui est arrivé au club quelques mois auparavant
Et de là commence les rumeurs sur ses intentions ...
Que voulait -il véritablement ?

Peut-être la présidence.
Il a été le fer de lance de la première offensive qui s'est transformé en chemin de croix médiatique (en créant l'image du putsch) et en impasse institutionnel (Fortin a repoussé le premier assaut). Dès lors, devant ce ratage, il n'était plus en position de, au moment où le retournement des forces s'est fait et c'est Clément qui a raflé la mise (sans réussir à entrer dans le groupe).
Bref, en y allant comme un bourrin, il s'est grillé tout seul et a laissé passer sa chance.

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Tel est mon bon plaisir.

Mimosa?

Quoi ?
Le poste de mimosa ?
Diriger le marketing du club ?

On te sait gré de faire "pour les nuls" une analyse systémique des événements qui appartiennent désormais au passé de Malherbe et de reconnaître accessoirement t'être humblement gouré sur des engagements fondamentaux du club tels que le projet 2020 de l'ambitieux Gravelaine parti depuis vers d'autres projets ambitieux à Guingamp.
Pas d'analyse dépassionnée non plus quand des petits actionnaires lassés ont débarqué un bon président passible d'un discret coup d'état et victime, comme il était admis alors, d'un putsch odieux.
L'Orne a coulé sous le Pont de Bir-Hakeim et la lumière se fait: les systèmes se valent en fait, l'un à ses avantages, l'autre ses défauts... tout n'est qu'une question d'exercice du pouvoir...
Ben merci pour tout. En conclusion on a bien fait de virer Fortin et Gravelaine.On va y gagner en qualité de débat. [/quote]

Pourquoi pas mais c'est quand même un peu paradoxal en fait. Avec le modèle bloquant, et sur une période où le club avouait lui même ne pas pouvoir mettre le paquet sur les joueurs, on a réussi à construire une équipe avec une sacré colonne vertebrale ; Vercoutre, Da Silva, Feret, Delort puis Santini, Rodelin, le passage d'Aït Benasser, Guilbert ... Tous d'emblée bien adaptés à la L1 finalement (Da Silva étant une heureuse surprise), les nouveaux venus se greffant sur le bloc existant au fur et à mesure.
Le tout en empilant quelques millions d'euros de ratés au fond du vestiaire; Jeff Louis, Dabo, le mec de Lyon dont j'ai oublié le nom là, qu'était fort en 2005, N'Kololo, Kouakou... enfin la liste habituelle quoi.



1-Quel a été le renouvellement de cet épine dorsale à l'issue de la fameuse année 4 ? (Ajout de Djiku, dans les conditions qu'on connaît, c'est à dire connection Labrune/Fortin, le reste du staff ayant joué le rôle de chambre d'enregistrement, et Guilbert, un ancien du club.) L'année 5 ? Cinq départs sur 7. Allez bon courage !

2-Quels jeunes de notre si fameux centre de formation 2020 signature Viking&Co sont venus se greffer à cette épine sur les 5 années de L1 ?


Outre les histoires de gouvernance, on s'est surtout auto-limités et crashés par une gestion sportive très discutable.





Comme Benoit Cauet Lui Même vous le dit depuis Lorient-Caen 2017.

Mais sinon, plutôt Capton que le fond de pension sino-américain. (C'est bien ça le choix ?)

Pas sur que Fortin aurait fait mieux..Ça puait la fin de cycle avec une équipe à reconstruire et puis le recrutement était loin d’être dingue les dernières saisons en L1 avec un maintien à l'arrache avant la saison 2018-2019 qui est la suite logique des choses..on était devenu le Nancy d'il y a quelques saisons,rappelez vous on se foutait de leurs gueule parce qu'ils se maintenaient en L1 avec un jeu dégueulasse...Et puis le recrutement aussi sans génie en allant cherchant du Bammou,c'est pas en allant chercher ce type de joueurs que tu vas être surpris...Quand tu vois qu'on est rester 6-7 ans en L1 mais que les promus qui montaient type Nîmes,Amiens,Dijon jouer mieux que nous au ballon ça fait mal au cul...

Concernant Fortin c'est un bon gestionnaire rien à dire,mais il a des qualités qui sont aussi des défauts,on sait que le bonhomme aime être bien entourer,qu'il est loyal mais sa gestion des entraineurs a pas vouloir les lâcher coute que coute c'était bien gavant..soutenir un entraineur dans une mauvaise passe en cours de saison ça s'entends mais si les actionnaires ne lui avaient pas mis le couteau sous la gorge pour dégager Dumas on repartait avec lui après une 3eme descente,même chose pour Garande soutenu jusqu'au bout alors que les supporters n'en pouvaient plus...On va pas refaire l'histoire...

Je vois bien que pour Ronnie Bird, dès qu’on sort des méchants contre les gentils, ça ne va plus.
Ben p’têt qu’il n’existe pas qu’une manière de faire les choses ? P’têt que c’est un brin plus subtil que ça et que chacun des deux projets avait ses avantages et ses inconvénients (c’est une hypothèse, bien sûr, chacun sait qu’il n’y a que les gentils contre les corrompus).

Après, c’est complètement vrai que le « toilage » entre l’équipe de Féret, Vercoutre et Da Silva et celle d’après n’a pas été fait et mal préparé, les quelques joueurs censés faire le lien n’ont pas donné satisfaction (Peeters, par exemple). Il y a eu une fin de cycle qui a été mal préparée, c’est un fait. Mais le projet global, le Malherbe 2020 avançait.

Le véritable échec, c’est que « en principe », passé trois ou quatre années à jouer le maintien, tu es censé être armé pour viser un peu plus haut. Et là, c’est financièrement que ça a raté. D’où le projet Capton, Je pense.

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Oui, ce que j'avais écrit. Fortin a dû vouloir viser plus haut, trouvé qu'une solution (qui l'arrangeait sûrement aussi) et la stabilité du club reposant sur l'égalité des parts des gros actionnaires, ceux-ci se sont rebiffés.(existence d'un pacte d'actionnaire sûrement). Mais il fallait mettre un coup de pied dans la fourmilière. À quitte ou double, si un pacte existait, c'était la sortie.Diriger un club qui bouge pas, ça devait plus l'intéresser. L'augmentation de capital via Capton avait tout du passage de pouvoir.