François de Malherbe a écrit:
Diogene a écrit:
François de Malherbe a écrit:
Diogene a écrit:
un format sur le modèle allemand (18 clubs, 2 relégations directes, 1 play-down) me semblait plus judicieux.
Je suis assez surpris que le passage de 3 à 2 relégations soit passée sans grande difficulté.
Sinon j'observe la que beaucoup se réjouissent du nouveau format de championnat qui limite les risques de relégations du SMC. Les mêmes qui crachent sur Fredo le reste de l'année?
Il y a 90% de messages ironiques.
On est bien d'accord que cette décision va dans le sens du coup de pied dans les couilles de Luzenac, que tu avais légitimé avec force.
je défends rien, je légitime rien et je m'en branle. Je me contente d'essayer d'avancer des explications et de comprendre les tenions qui travaillent la régulation du foot depuis 30 ans. Les postures mercantiles des marchands du temple sont ridicules. Les certitudes béates des gardiens du temple, convaincus d'avoir raison, le sont tout autant.
Merci de repasser avant de me coller l'étiquette du libéral du foot, je crois avoir prouvé et écrit le contraire.
Libéral, je ne l'ai pas dit, mais je me rappelle justement d'un manque d'élégance de ta part à propos d'un message écrit (certes dans un cercle privé), où je dénonçais la méconnaissance crasse des responsables décisionnaires du football concernant l'histoire du sport le plus fabuleux qui ait été inventé. C'était dans le cadre du cas de Luzenac...
moi manquer d'élégance?
je dis juste que lorsqu'on parle de régulation du foot, on évoque à fort et à travers tantôt une fermeture des ligues (je vois pas en quoi, ni comment si quelqu'un veut bien m'expliquer), la sempiternelle comparaison avec la NBA qui est hors de propos, les positions caricaturales sur l'argent fou du foot, et une dose sur les dérives du foot business. Alors ok, on s'est ému, mais après on en a pas appris beaucoup sur l'éco du foot, la tensions entre les acteurs, les modèles de régulation éco en Europe comme Amérique du Nord.
Après j'm'en branle. Je dis juste que mettre la main sur le coeur en évoquant les belles valeurs du sport, c'est un peu être les Stéphane Hessel du foot. On s'indigne en masse mais pas tellement plus.