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Re: [J12] Sans brio

Posté : 01 nov. 2025 09:41
par Jolsen
Prestation résumée par Morgane Huguen : Chez le dernier, Malherbe ne vole pas bien haut.

Re: [J12] Sans brio

Posté : 01 nov. 2025 09:47
par le retour de le Natza
cuicui60 a écrit :
Wallace a écrit :Ça n'enlève en rien la prestation chez le dernier mais on avait quand même mis les ingrédients pour ouvrir le score
C'est vrai, le début était encourageant.
C'est ça qui est incompréhensible. Comme tu dis, on met les ingrédients pour ouvrir le score. Le problème c'est qu'on arrête de cuisiner alors qu'on l'a pas encore ouvert...
Et c'est loin d'être la première fois qu'on entame avec 5 minutes de bonnes intentions qui s'évanouissent dans le rien.

Re: [J12] Sans brio

Posté : 01 nov. 2025 09:53
par NickP
Oui c'est même très récurrent.

Re: [J12] Sans brio

Posté : 01 nov. 2025 11:23
par tite-live
cuicui60 a écrit :
Wallace a écrit :N'empêche que c'est n'importe quoi l'arbitre qui siffle avant sur le but non accordé de Hafid
Ça + le pénalty sur Armand ça fait beaucoup dans un même match.
Ça n'enlève en rien la prestation chez le dernier mais on avait quand même mis les ingrédients pour ouvrir le score
Assez d'accord avec toi. Ces deux énormes erreurs nous ont bien plombé, et on n'avait pas besoin de ça parce qu'on a un mental convalescent et aucune certitude dans le jeu.

Re: [J12] Sans brio

Posté : 01 nov. 2025 11:40
par Titideroin
tite-live a écrit :
cuicui60 a écrit :
Wallace a écrit :N'empêche que c'est n'importe quoi l'arbitre qui siffle avant sur le but non accordé de Hafid
Ça + le pénalty sur Armand ça fait beaucoup dans un même match.
Ça n'enlève en rien la prestation chez le dernier mais on avait quand même mis les ingrédients pour ouvrir le score
Assez d'accord avec toi. Ces deux énormes erreurs nous ont bien plombé, et on n'avait pas besoin de ça parce qu'on a un mental convalescent et aucune certitude dans le jeu.
L'arbitre a aussi "compensé" en fin de match avec un penalty très généreux suivi d'un rouge pour le moins discutable. En tout cas on aurait crié au scandale dans l'autre sens.

Re: [J12] Sans brio

Posté : 01 nov. 2025 13:08
par pascal francois II
Guigui a écrit :M'Vila est surement critiquable sur plusieurs points, mais c'est le seul mec de cette équipe capable de faire des ouvertures. Sans lui on peut jouer 8 heures sans avoir un débordement ou une occaz.

Faudrait peut-être stopper les passes à dix à l ' entrainement, car l 'équipe est peut-être bloquée la dessus :lol: ????????

Bon on attendra la père noël "mercato " , j'y crois ou fait semblant d' y croire :cry:

Re: [J12] Sans brio

Posté : 01 nov. 2025 16:05
par supfal
Ce qu'il manque à Malherbe c'est un directeur sportif.

Re: [J12] Sans brio

Posté : 01 nov. 2025 16:52
par Hastings
jesperolsen a écrit :<3 <3 <3
il y a bientôt dix ans
:shock: :o
...

Re: [J12] Sans brio

Posté : 01 nov. 2025 16:53
par Hastings
supfal a écrit :Ce qu'il manque à Malherbe c'est un directeur sportif.
A mon avis, pas que. :mrgreen:

Re: [J12] Sans brio

Posté : 01 nov. 2025 17:16
par Isaac
Le *Vent d’Est* était un trois-mâts goélette, fier et rapide, connu dans tous les ports de la Méditerranée pour son équipage d’exception. Chaque marin à bord était une légende à lui seul : il y avait Elias, le vieux loup de mer qui connaissait chaque courant comme sa propre paume ; Sofia, la navigatrice aux yeux d’aigle, capable de lire les étoiles même par nuit de brume ; Karim, le maître voilier, dont les mains semblaient tisser le vent ; et tant d’autres, tous unis par une passion commune pour la mer et une expertise sans faille.

Pourtant, malgré cette équipe de rêve, le *Vent d’Est* avait un point faible, un talon d’Achille qui faisait grincer les dents des marins les plus aguerris : son capitaine, Ziad Hammoud.

Ziad Hammoud n’avait rien d’un capitaine. Il avait hérité du poste grâce à des relations familiales obscures et à une obstination à toute épreuve, mais certainement pas grâce à ses compétences. Il parlait d’une voix nasillarde, hésitante, et ses ordres étaient souvent contradictoires, prononcés avec une assurance feinte qui ne trompait personne. Il ne savait ni lire une carte marine correctement, ni interpréter les signes du temps, ni même tenir une barre avec fermeté. Pire encore, il méprisait les conseils de son équipage, préférant s’enfermer dans des certitudes idiotes, comme si la mer devait se plier à ses caprices plutôt que l’inverse.

Le voyage devait être une traversée simple, de Marseille à Tunis, une route que l’équipage connaissait par cœur. Dès le premier jour, les signes avant-coureurs furent nombreux. Ziad Hammoud refusa de suivre la route tracée par Sofia, arguant qu’il « sentait » qu’un détour par le sud serait plus rapide. Personne ne comprit jamais sur quoi se basait ce « sentiment », mais le capitaine était intraitable.

Le vent tourna, les courants changèrent, et le *Vent d’Est* se retrouva à lutter contre des vagues qu’il aurait pu éviter. Elias, les sourcils froncés, tenta de raisonner le capitaine : « On perd du temps et on use le bateau pour rien, capitaine. Il faut revenir sur la route initiale. » Ziad Hammoud le regarda avec un sourire condescendant : « Elias, tu es un vieux routier, mais la mer a changé depuis ton temps. Fais-moi confiance. »

Personne ne fit confiance. Mais personne ne put rien faire.

Le troisième jour, une tempête se leva à l’horizon. Les nuages s’amassaient, lourds et menaçants, et l’air sentait l’ozone et le sel. Sofia, les yeux rivés sur le baromètre, courut sur le pont : « Capitaine, il faut amener les voiles et mettre le cap au nord-ouest. On va droit dans la tempête ! »

Ziad Hammoud, assis sur un tonneau, grignotait une pomme. Il leva les yeux, l’air agacé : « Une tempête ? Tu exagères, Sofia. Ce ne sont que des nuages. On continue comme prévu. »

Karim, les mains crispées sur les cordages, lança un regard désespéré à Elias. Personne n’osa désobéir. Le *Vent d’Est* plongea dans la tempête.

Les vagues frappaient le bateau comme des marteaux, l’eau s’engouffrait sur le pont, et les voiles claquaient comme des drapeaux en lambeaux. L’équipage, malgré tout, se battit avec courage, ajustant les voiles, pompant l’eau, maintenant le cap. Mais Ziad Hammoud, au lieu de prendre la barre ou de donner des ordres clairs, hurlait des instructions incohérentes, changeant d’avis toutes les cinq minutes.

La tempête finit par s’éloigner, laissant le *Vent d’Est* épuisé, mais intact. Pourtant, le pire était à venir. Ziad Hammoud, sûr de lui comme jamais, décida de couper par un détroit étroit, connu pour ses récifs traître et ses courants imprévisibles. « C’est un raccourci, expliqua-t-il. On gagnera une journée. »

Sofia, blême, montra la carte : « Capitaine, les marées sont basses, les récifs sont à fleur d’eau. On ne passera pas. »
Ziad Hammoud éclata de rire : « Tu crois vraiment que je vais me fier à une carte ? Regarde, la mer est calme, il n’y a aucun danger. »

Le *Vent d’Est* s’engagea dans le détroit. Quelques minutes plus tard, un grincement sinistre retentit sous la coque. Le bateau s’immobilisa, secoué par une vibration sourde. Ils avaient touché un récif.

L’équipage se précipita, mais il était trop tard. La marée descendante avait coincé le *Vent d’Est* sur les rochers. Impossible de reculer, impossible d’avancer. Le bateau, fier et rapide, était prisonnier de l’arrogance de son capitaine.

Les jours qui suivirent furent une lutte pour sauver ce qui pouvait l’être. L’équipage, malgré sa colère, travailla sans relâche pour alléger le bateau, réparer la coque, et tenter de le libérer. Mais Ziad Hammoud, réalisant enfin l’ampleur de sa faute, s’enferma dans sa cabine, incapable de faire face à ses hommes.

Finalement, une équipe de sauvetage venue de la côte la plus proche parvint à les secourir. Le *Vent d’Est* fut remorqué jusqu’au port, où il fallut des semaines de travail pour le remettre en état.

Quant à Ziad Hammoud, il disparut. Certains dirent qu’il s’était enfui, honteux. D’autres qu’il avait été relevé de ses fonctions par l’armateur. Peu importait. L’équipage, lui, avait appris une leçon : même les meilleurs marins ne peuvent rien contre l’incompétence et l’orgueil d’un capitaine.

Elias, Sofia, Karim et les autres reprirent la mer, cette fois sous le commandement d’Elias, promu capitaine par acclamation. Le *Vent d’Est* navigua à nouveau, plus sûr que jamais, porté par le vent et la sagesse de ceux qui savaient écouter la mer.

Et si, parfois, une vague plus forte que les autres faisait grincer la coque, personne ne s’en plaignait. Car chacun savait que la vraie force d’un bateau réside dans l’équipage, et non dans celui qui prétend le commander.

Re: [J12] Sans brio

Posté : 01 nov. 2025 17:52
par ajacques
Toi t'as encore fait une nuit banche ...

Re: [J12] Sans brio

Posté : 01 nov. 2025 18:27
par pascal francois II
ajacques a écrit :Toi t'as encore fait une nuit banche ...
BLANCHE DANS TOUS LES SENS 8)

Re: [J12] Sans brio

Posté : 01 nov. 2025 18:53
par BobMelon
NickP a écrit :Pour les 12.pts en 4 matches c'est bien parti.




Vous la sentez venir la zone de relégation ?
A mon avis on sera plus près des 4pts en 12 matchs.

Re: [J12] Sans brio

Posté : 02 nov. 2025 00:32
par supfal
Hastings a écrit :
supfal a écrit :Ce qu'il manque à Malherbe c'est un directeur sportif.
A mon avis, pas que. :mrgreen:
Bien sûr que non, pas que ... ce que je voulais dire surtout c'est que celui en place, à part compter les rouleaux de PQ dans les chiottes du centre de formation, je ne vois pas ce qu'il fait !

Re: [J12] Sans brio

Posté : 02 nov. 2025 02:34
par Hastings
J'aurais tendance à penser qu'il fait surtout ce qu'on lui demande. A quoi bon avoir un directeur sportif avec des idées et du caractère si c'est pour que ca se termine comme avec Prêcheur ?