Posté : 05 oct. 2005 12:12
Bon, c'est marrant de vous lire tous, je crois que je vais m'y mettre aussi. Le problème, c'est que j'ai rien de folichon à raconter.
Perso, j'étais au lycée Dumont d'Urville, et j'ai passé mon bac en 1999, au bout de 3 ans d'une scolarité sans histoire.
Je me souviens surtout que je bossais pas beaucoup (hormis les dissert' de philo la nuit pour le lendemain, vu que j'étais en L), car Dumont ne brillait pas par la qualité de sa filière littéraire, et l'unique TL était suffisamment hétérogène pour que je puisse passer l'année dans la tête de classe sans trop me fouler.
Bref, j'entame les révisions avec "objectif mention bien", je centre ça sur la philo (coeff 7, comme l'a rappelé Sylvio) où j'ai passé l'année à 10,5. Partant du principe que 3 sujets sont au choix, je procède de même parmi mes cours et révise un tiers des thèmes au programme, parmi mes préférés.
Résultat, je tombe sur un des sujets pile à la croisée des thèmes révisés et je tape un 19 (désolé).
Sinon, je rajoute avec un souvenir de l'année de 1ère, puisque mon bac de français tombait pendant la CDM98.
Pressé par le temps (les révisions à la mi-temps d'Espagne-Paraguay, c'était quelque chose), je n'avais pas révisé tous mes textes, donc certains trop longs et que la prof nous avait assuré être coupés à l'examen (je me disais que l'examinateur aurait la flemme de les sectionner). Bref, le jour J je commence par tenter d'amadouer l'examinateur (c'était le jour de mon anniversaire), puis je suffoque en voyant qu'il me donne un texte de Colette (...sans le couper, d'ailleurs) dont j'avais juste relu rapidement le commentaire. Sur ces entrefaites, pendant que je commence à préparer, l'examinateur va se chercher un café. Ni une, ni deux, j'ouvre mon sac dans lequel j'avais quelques fiches de révision, consulte le plan du commentaire (juste le plan, pas tout, histoire d'avoir encore une partie de ma conscience pour moi) à toute vitesse, le sang battant mes tempes adolescentes.
J'ai eu 14.
Tite-Live, Mister coupd'bol.
Perso, j'étais au lycée Dumont d'Urville, et j'ai passé mon bac en 1999, au bout de 3 ans d'une scolarité sans histoire.
Je me souviens surtout que je bossais pas beaucoup (hormis les dissert' de philo la nuit pour le lendemain, vu que j'étais en L), car Dumont ne brillait pas par la qualité de sa filière littéraire, et l'unique TL était suffisamment hétérogène pour que je puisse passer l'année dans la tête de classe sans trop me fouler.
Bref, j'entame les révisions avec "objectif mention bien", je centre ça sur la philo (coeff 7, comme l'a rappelé Sylvio) où j'ai passé l'année à 10,5. Partant du principe que 3 sujets sont au choix, je procède de même parmi mes cours et révise un tiers des thèmes au programme, parmi mes préférés.
Résultat, je tombe sur un des sujets pile à la croisée des thèmes révisés et je tape un 19 (désolé).
Sinon, je rajoute avec un souvenir de l'année de 1ère, puisque mon bac de français tombait pendant la CDM98.
Pressé par le temps (les révisions à la mi-temps d'Espagne-Paraguay, c'était quelque chose), je n'avais pas révisé tous mes textes, donc certains trop longs et que la prof nous avait assuré être coupés à l'examen (je me disais que l'examinateur aurait la flemme de les sectionner). Bref, le jour J je commence par tenter d'amadouer l'examinateur (c'était le jour de mon anniversaire), puis je suffoque en voyant qu'il me donne un texte de Colette (...sans le couper, d'ailleurs) dont j'avais juste relu rapidement le commentaire. Sur ces entrefaites, pendant que je commence à préparer, l'examinateur va se chercher un café. Ni une, ni deux, j'ouvre mon sac dans lequel j'avais quelques fiches de révision, consulte le plan du commentaire (juste le plan, pas tout, histoire d'avoir encore une partie de ma conscience pour moi) à toute vitesse, le sang battant mes tempes adolescentes.
J'ai eu 14.
Tite-Live, Mister coupd'bol.
