[J31] L'Estac haché au sel de Garande

[Xavi Jacob]

Je ne sais pas quoi penser. C'est magique mais ça m'effraie un peu.

[kitchman]

J'ai compris le titre, c'est pas bon signe...

[NickP]

moi c'est les selles que je ne saisis pas bien dans le contexte...

[bigdudu]

C'est même un peu dégueu d’accommoder du steak avec de la m... J'aurais laissé "sel" qui ne manque pas de piquant. "au sel de Garande".

[NickP]

Ah tu crois que c'était un détail culinaire ?

[Magenta]

C'est même un peu dégueu d’accommoder du steak avec de la m... J'aurais laissé "sel" qui ne manque pas de piquant. "au sel de Garande".

Oui c'est un très bon compromis.

[Jisait]

Aaaah, la Juliette derrière l'Hôtel du Haut-Doyenné.
Des souvenirs pour moi aussi.

[Mec qui suce]

Je ne saurais expliquer mon ressenti devant le titre de Mimix mais j'ai éprouvé un peu le même sentiment que celui connu le jour où je me suis retrouvé devant le Déjeuner sur l'herbe, à Orsay.

Ou peut-être même le jour où, dans cette maison en briques lexovienne, la belle Juliette s'est mise à genoux devant moi pour interrompre à jamais mon long pucelage de sa bouche de musicienne.
C'était un jour d'août, un jour d'été chaud et sec. J'étais couvert de la poussière que nous soulevions à longueur de journée, poussière que nous emportions sur nos vêtements jusque dans nos couches.
Il faut dire qu'à force de nous observer du coin des yeux, affairés sur nos sépultures respectives, l'orage grondait. Cette position avait quelque chose d'éminemment suggestif. Cette façon de soigner ce corps inhumé 15 siècles plus tôt, de l'épousseter...
Je m'en souviens d'autant mieux que je venais d'exhumer mon premier guerrier franc. Ce mini-triomphe, à l'échelle des jeunes archéologues bénévoles que nous étions, allait m'offrir mon premier nirvana.

Oui, je me suis senti un peu comme sur ce site Michelet, l'année de mes dix-huit ans.
J'ai connu l'extase et rencontré la perfection de la langue.

Merci, Mimix.

En somme vous avez connu ma femme, Meuf qui suce.

On en reparle mais tout de suite, LAURENT GERRA !

[mimix]

Merci Landry



Sinon je propose en alternative:

"L'Estac à chier au sel de Garande"

[Huisgonde]

C'est même un peu dégueu d’accommoder du steak avec de la m... J'aurais laissé "sel" qui ne manque pas de piquant. "au sel de Garande".

Nan mais l'homophone (ne pas lire trop vite ce mot, tiens), tu l'appliques à sel mais pas au steak. Or, c'est pas le steak qui est accomodé là, c'est l'ESTAC qui va être haché par de la m... appartenant à Garande.

Ce qui, à la reflexion, en fait n'est pas très gentil pour nos joueurs.

Mais sel de Garande, là je vois pas trop le double sens. Même s'il va mettre son grain de sel là dedans.

[ajacques]

Mais sel de Garande, là je vois pas trop le double sens.

[NickP]

Merci Landry



Sinon je propose en alternative:

"L'Estac à chier au sel de Garande"

Mais non, Estac haché au sel de Garande c'est le combo idéal, tellement on va leur mettre du sel plein les plaies.

[tito]

Mais sel de Garande, là je vois pas trop le double sens. Même s'il va mettre son grain de sel là dedans.

Justement, l'expression "le sel de" en littérature représente quelque chose de bénéfique, donc tout à fait approprié pour vouer la qualité des choix tactiques de Garande.

[Huisgonde]

Allez hop, ajacques ignoré. Avec Angus.

Ah bon, bah si on se met à parler de litterature au lieu de cul maintenant...

[Isaac]

Je ne saurais expliquer mon ressenti devant le titre de Mimix mais j'ai éprouvé un peu le même sentiment que celui connu le jour où je me suis retrouvé devant le Déjeuner sur l'herbe, à Orsay.

Ou peut-être même le jour où, dans cette maison en briques lexovienne, la belle Juliette s'est mise à genoux devant moi pour interrompre à jamais mon long pucelage de sa bouche de musicienne.
C'était un jour d'août, un jour d'été chaud et sec. J'étais couvert de la poussière que nous soulevions à longueur de journée, poussière que nous emportions sur nos vêtements jusque dans nos couches.
Il faut dire qu'à force de nous observer du coin des yeux, affairés sur nos sépultures respectives, l'orage grondait. Cette position avait quelque chose d'éminemment suggestif. Cette façon de soigner ce corps inhumé 15 siècles plus tôt, de l'épousseter...
Je m'en souviens d'autant mieux que je venais d'exhumer mon premier guerrier franc. Ce mini-triomphe, à l'échelle des jeunes archéologues bénévoles que nous étions, allait m'offrir mon premier nirvana.

Oui, je me suis senti un peu comme sur ce site Michelet, l'année de mes dix-huit ans.
J'ai connu l'extase et rencontré la perfection de la langue.

Merci, Mimix.

La conquête. La prédation.

Et vive la femme, de son prénom Ravagée.