bigdudu a écrit :Entre ne pas applaudir et huer de la sorte il y a de la marge. C'est s'en prendre à sa personne et non plus au joueur et je trouve ça lamentable. Moi ça me retourne les tripes et toi ça te "fait kiffer". Sans commentaire.
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je ne pense pas grand chose du footeux mais c'est vrai qu'il se défonce sur le terrain, mais en vain sans technique
jamais je ne lui ferais une bronca
Comme dirait l’autre, « ça durera ce que ça durera » mais comme disait ma grand-mère, « ce qui est pris n’est plus à prendre ».
Sebmalherbe a écrit :Le pauvre Nabab il a un peu les pieds carrés mais il est plein de bonne volonté. J'ai plus envie de l'encourager que de le siffler. Et si tu penses qu'il n'a rien à faire sur un terrain de foot c'est ton droit, mais dans ce cas siffle Garande, pas Nabab ! L'entraîneur le fait jouer et il fait de son mieux. Ce soir j'ai vraiment eu mal pour lui. Et il a pris sur lui pour ne pas jeter son maillot en sortant.
Soutien à Doudou.
Tiens, en éditant mon message (pour atténuer mes propos excessifs à propos de Pierre qui le cherchait pourtant bien), j'écrivais la même chose que toi.
Le pauvre Doudou v'là les vacances qu'il va se payer après cette bronca...
En plus, c'est vrai qu'il est maladroit mais avec un peu de confiance et un poil de réussite il peut être un honnête recours pour la ligue 2. Là je pense que les débiles qui ont sifflé lui ont bien sapé le moral.
Landry a écrit :Faut faire un truc pour doudou, ça peut pas rester comme ça, c'est pas possible... C'est juste horrible de faire ça à un mec gentil et de bonne volonté.
Casse toi pauvre chèvre. Toquard !Débile ! Jean foutre ! Idiot ! Blaireau ! Tu sais pas faire 3 accords à la guitare, ni au participe passé. Passe ton chemin. Dégage !
L'histoire n'est pas la science du passé, mais la science des hommes dans le temps.
Je crois qu'il ne m'aime pas beaucoup. Pourtant c'était un très gentil garçon mais à chaque fois que j'écris quelque chose, ou il n'est pas d'accord, ou il ne comprend pas. Je crois qu'il y a eu un malentendu au départ et qu'il est resté bloqué là-dessus. Au bout d'un moment, je veux bien être gentil mais ça devient un peu pénible.